BASELWORLD 2017: Bubble 42 Juliette Jourdain – La Bubble à la perle

BASELWORLD 2017: Bubble 42 Juliette Jourdain – La Bubble à la perle

A 26 ans, sophistiquée et décalée, c’est dans un esprit totalement Bubble que Juliette Jourdain et Corum s’unissent, ajoutant une nouvelle création bubblesque à la collection emblématique de la maison horlogère.

Entre l’excentricité et la captivante créativité de la jeune photographe et la pétillante et légendaire Bubble, la collaboration est évidente. Juliette nous ensorcèle une fois de plus par son inventivité sans limite, son imagination débordante et son aptitude à concevoir un personnage aussi merveilleux qu’esthétique l’immortalisant ensuite avec talent sur papier. Qu’elle se mette en scène ou qu’elle fasse appel à des modèles, ses portraits fascinent et nous laisse émerveillés par son univers.

Cette nouvelle Bubble, surmontée de son traditionnel et intemporel dôme saphir nous charme par la pureté de ses couleurs.

Le cadran représente l’autoportrait de cette talentueuse photographe au sens artistique aigu. Pure, au regard intense et aux traits finement marqués ce portrait laisse sans voix. En relief sur le cadran, des gouttes de diamant cristallines ruissèlent le long du visage de la jeune femme. Dépourvue de chiffres et de repères, aux aiguilles très discrètes, cette Bubble très épurée n’en reste pas moins captivante.

Le blanc immaculé du bracelet en caoutchouc vulcanisé tranche délicatement avec le gris métallisé de l’acier inoxydable.

Lancée en 2000, la Bubble de Corum, devenue une icône de l’horlogerie suisse insuffle depuis bientôt 20 ans un vent de fun et de jeunesse sur la maison horlogère chaux-de-fonnière en conservant fièrement son esprit innovateur.

A propos de Juliette Jourdain:
Juliette Jourdain est une jeune photographe de 26 ans, établie à Paris, diplômée de l’EFET. C’est par le dessin et la peinture qu’elle va se glisser dans le monde si vaste et abstrait des arts dès son plus jeune âge, pour se spécialiser par la suite dans la photographie, réunissant ainsi ses diverses passions. Puisant son inspiration dans sa propre imagination, elle photographie, comme si elle créait une toile en dépeignant son monde imaginaire. D’un univers baroque essentiellement illustratif, ses portraits, pour la plupart autoportraits, s’orientent vers la création de personnages au sein de l’univers de la mode.